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Paysage Métaphysique Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Mixed Media on Canvas

Size: 78.7 W x 118.1 H x 0.1 D in

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"Celui qui à des ailes il comprend...! " (proverbe hindus ) Technique mixte sur toile. Toile simple, sans chassis. Paysage Métaphysique avec description d'une Croix sur le carré et la Section d'Or suivie d'une "apparition" sur la grande diagonale bas droite "En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on peut facilement deviner son aspiration à construire un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illisoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets (sa peinture est par nature même affectif, débordant d'une intenseémotion), CALOÏAN introduit les dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il est de l'action de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que le joie de la création n'est que le résultat d'un travail immense. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement." (D.Grigorescu /sept/1989/Bucarest) "L'Icare de Caloian est l'oiseau-âme, le "milan-royal", appelé en roumain "Gaia", le plus bel oiseau de proie, qui vole au plus haut dans le ciel, choisi par Brancusi comme modèle pour "Maiastra", son Oiseau bleu... Le vol d'Icare matérialise une "fable" qui se déroule dans un ciel infranchissable, avec un mouvement vertical, ascendant vers l'Absolu... Caloian réitère le mythe d'Icare, ce mythe si particulier, qui n'a jamais perdu de son rayonnement sur les artistes. Car le mythe nous raconte une histoire sacrée, exemplaire et répétable, c'est un modèle, "une révélation de la réalité et une ouverture sur le Grand Temps primordial", comme l'affirme Mircea Eliade... En le recrécréant, Caloian devient "contemporain" d'Icare, pour participer à un mystère dans un temps concentré... D'ailleurs, tous ses thèmes demandent ce temps "concentré" : les numéros d'aéroge élevé du Harlequin, la Tauromachie, le Passage d'un Pont, les saisons des Arbres, les Icares... L'Artiste s'efforce d'abolir la condition humaine à la recherche du Paradis perdu, il "monte" au ciel "en esprit", et par son expérience, il participe à la restauration paradisiaque... Icare est l'initiative de l'être humain en état de salut, car la vie ne peut apporter rien sans liberté, l'oiseau-âme est toujours libre, dans un état héroïque d'évasion, de vol vers la liberté." (Alexandra Medrea Danciu/avril 2005 Paris) CALOÏAN : la mesure de l’indicible. L’essence du travail de Caloïan est la matière dont on fait les rêves. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment le bouillonnement intérieur dont il est issu. L’extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu’elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, à regret confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une profondeur nouvelle qui ne doit rien à l’épaisseur de la peinture mais tout à l’impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d’un monde nouveau ou arrangeant, mais une vision nouvelle d’un monde dont il sait qu’il est bien le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu’il en va de la quête de ces derniers comme de la sienne : la recherche d’une grâce volée aux dernières lueurs de l’enfance, l’expression d’un passage sans compromissions éclairé du plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d’être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d’union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. A présent, reculez. Encore. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l’appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les imageries tellement plus complexes qu’il a déjà formentées dans son cerveau. C’est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l’image, position des couleurs, mises en composition avec l’émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïan a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n’est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s’écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, laquelle est le vêtement de nos âmes. C’est pourquoi ses masques sont vibrants, osseux, dépourvus de peau. C’est pourquoi ses totems bravent l’éternité. Reculez encore, et observez. L’étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur en est sa caisse de résonance, et il résulte de ce chaos apparent une familiarité bouleversante, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s’il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée, ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis) Matière de rêve et rêve matérialisé…… inexorablement. Marcel Caloïan est un artiste peintre d’origine roumaine qui vit et travaille à Paris depuis 20 ans. Très peu connu dans son pays d’origine il a réussi à se faire un « nom » dans son métier. Prêt de 15 000 artistes plasticiens sont recensés à ce jour à Paris. A la fin de l’année 2006 il a créé sa propre école d’artistes « Cours Atelier Caloïan ». Ses créations viennent d’un espace peuplé de phantasmes, d’imagination, d’innovations et de liberté spécifique aux grands esprits (Picasso, Dali, Ernst…) qui ont nourris des générations et aussi d’une authentique vibration personnelle de l’accumulation depuis des années d’études, de perfectionnement et de la recherche de sa propre identité (le peintre à 53 ans). Caloïan n’est pas seulement un excellent coloriste mais aussi un créateur de situations conflictuelles dans lesquelles transparaît le besoin de sa représentation symbolique, poétique et métaphorique. Un symbolisme plus évident qui se superpose sur une construction abstraite, géométrique, spontanée comme une juxtaposition inhabituelle de nuances, de couleurs, d’articulations, de sens, non-sens, de matières, de non-matières, de transparences et d’opacités. Caloïan arrive dans des espaces figuratifs avec émotion, fulgurance, maitrise de soi et chargeant le(s) personnage (s) avec des réverbérations symboliques imprégnées de sa propre existence. Ses expressions sont tourmentées. Les mythes représentent des signes forts, essentiels et mystérieux. Depuis sa jeunesse Caloïan marque son territoire artistique avec aplomb, discernement et authenticité. Sa grande création et j’assume le risque d’une opinion subjective et critique « impressionniste » est de visualiser la forme toujours en dialogue avec le néant (vide). Tout effort de création chez Caloïan n’est pas la décoration comme tendance sublime mais trouver la métaphore qui approche l’acte créateur de la substance poétique pure. La création de Caloïan est verticale et se confond avec l’ineffable, l’esprit immortel, tendance majeure de l’époque post-moderne. J’aime chez Caloïan l’obsession des images transformées, bouillonnées, alambiquées qui deviennent jamais nostalgiques mais au contraire se métamorphosent en signes et symboles. On peut bien affirmer que chez Caloïan il y a l’imprégnation de la modernité qui respire universellement sans contourner la technique, les valeurs impératives de la connotation symbolique, le travail de la composition, les couleurs, les glacis et toute la plasticité qui sublime un art majeur. La beauté de l’être humain vient des profondeurs et Caloïan explore toutes les nuances, les teintes, les ombres, les lumières avec une délicatesse à part et une tempête caractéristique à son personnage. Chez Caloïan c’est le grand raffinement de l’intériorisation, le symbolisme plein d’accent poétique, l’excitation entre réverbération nostalgique sans tomber dans le désuet et l’interrogation dramatique tellement mystérieuse, suspendu dans le « néant » propre aux grands créateurs. Caloïan est la représentation des rêves, mythes, légendes, métaphores et signes poétiques que tout autre artiste désire inexorablement. (Alexandre PADURARU – septembre 2010, Bucarest) Le vol magique « Icare » sur fond blanc est l’abolition de la pesanteur, le désir de l’Artiste de se libérer, se délivrer de ses limites, dans un vol qui atteint la pureté absolue... « Icare » sur fond noir est comme le « vol de nuit » dangereux, ambivalent, où se joue un drame existentiel... En réitérant ce drame, l’Artiste souligne l’origine rituelle de la souffrance de l’héro mythique... Les deux tableaux, en « noir » et « blanc », évoquent l’onirisme et la fascination de Caloïan pour le mythe d’Icare... Des métamorphoses, des signes, des traces d’un abandon, en utilisant le jeux d’ombres et de lumières oscillant entre l’absolu et la déchirure, comme si une onde secrète traverse l’esprit de l’Artiste... Une tumultueuse projection des textes déchirés, une expérimentation sur la matière : métissage des caractères, des lettres, des jeux typographiques, donnent aux deux tableaux l’image d’un « manuscrit » plastique, comme l’affiche... Dans l’ajustement magique du collage, les mots et les couleurs ondulent en toute liberté, pour exprimer la jouissance du vol et de l’abandon... L’Icare de Caloïan s’inscrit dans l’immense dossier du « vol magique » et de toutes les légendes relatives aux « hommes oiseaux » ... Icare continue son voyage initiatique entre Ciel et Enfer, comme nous propose le « blanc » et le « noir », pour souligner la rupture entre le désir de l’Ascension et de la Chute... (Alexandra Medrea, octobre 2005, Paris) Gamme VIOLETTE Où Caloïan assagi Les couleurs correspondent-elles à des états de l’âme et l’âme a-t-elle une couleur ? Si oui, l’âme de Caloïan ayant atteint l’âge de la sagesse est violette. En quête de spiritualité le peintre du toréro défiant le taureau d’antan me propose deux toiles afin que j’en écrive un commentaire. La chose n’est pas facile car connaissant bien l’artiste je crains de transposer ce que je sais sur ce que je vois. Mais la complexité des deux œuvres violettes est telle que j’accepte de plonger dans la profonde vibration de cette nouvelle dimension de Caloïan qui est pourtant une continuation de l’espace élégiaque qui l’habite et qui le définit comme peintre roumain créateur d’atmosphères « mioritiques » tant l’harmonie est évidente. Peinture et poésie ? Oui, car expressionniste figuratif autrefois, l’artiste évolue vers l’abstractionnisme lyrique de souche également expressionniste. Moderne, Caloïan ne provoque pas car il ne pratique pas la facilité. Il fait une chose infiniment plus difficile-il nous caresse, il nous apaise et il nous propose de nous amener dans une spiritualité qui passe par les couches épaisses de la pâte couchée sur la première toile. La deuxième toile, mouvement énergétique en douce spirale a à faire à la musique tant par la subtilité de la couleur que par la structure géométrique de la forme. Cette deuxième toile, dégradé de violets me parle aussi de la solitude du créateur devant le chevalet et elle me fait penser au poète roumain Ion Barbu qui écrivait dans un poème « saint corps et nourriture à lui-même Hagi mordait sa chair ». De quelle belle intériorité doit être habité l’artiste pour se donner en proie à la création et s’en nourrir en même temps ? Quelle belle paix qui embrasse la femme, elle aussi violette dans la première toile et le Cosmos intérieur reflet de l’environnent en devenir dans la deuxième ! Tout ceci est beau mais n’oublions pas que notre Caloïan est sensuel et bon vivant. Aurait-il changé ? Non, on retrouve cette dimension presque gustative dans la profusion de violet qui est enivrante. Et comme le violet est ecclésiastique on parle sans peur de béatitude dans un univers ou la couleur est Dieu. La première toile présente par endroits des lignes de contour interrompues rouges et dans le coin gauche en haut un triangle de la même couleur. Dans cette espace ou rien n’est laissé au hasard, dans cette mer violette le rouge est le cri de l’instinct, de la vie et peut-être de la jeunesse qui tire sa révérence gracieusement. Nous tirons nous aussi notre révérence au peintre pour lequel toute peinture éclate de la « nécessité intérieure » défini par Kandinsky comme seule source pérenne de l’acte picturale. Caloïan, continue de nous transporter car selon Malraux que je paraphrase le 21ième siècle sera spirituel ou ne sera pas! (Dana Mutiu Stoïca Neuilly, le 2 juin 2019) A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions est bien de veiller à la bonne ordonnance de toutes les entreprises communes et de n’oublier jamais qu’il nous font tenter de rendre compte de la constitution d’un ordre secrètement absolu … Cela ne va pas sans de très longues analyses parmi les plus couteuses. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs n’aboutissent en rien. Il n’y a personne qui n’échoue. Ultinam varietur : voie du salut. Puissé-je varier pour que le poème ne s’achève ! La chose même me soit comme un séisme ; un arrachement ; une flamme par essence incomparable. Peut-être un espace à venir nous est-il promis dés que s’ouvrent les noces de Cana de l’apparence. Le grain de la pierre, Dieu le sent. Il ne fait pas obstacle à ce que nous ébauchions une esthétique unitive. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d’une naiveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d’une confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés les uns par rapport aux autres. Tables non pas éparses d’une Loi comme indéchiffrable de beauté… Tu ne devines pas ce que le sort nous vaut, une guerre renouvelée, divine, Ou d’autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté nous attaqent… Ils sont bien là, pourtant, nous aiffraient, Nous trompent, rompent peut-être une chaine et puis de toujours Ecartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà les sentences s’entendent. De part …En part nous les révolent. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui nous gouvernent ! Nous ne sommes pas innocents. A nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d’atteindre Au très profond rivage que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas…En effet Que tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas ! Tu ne recherche En effet que la sainte énergie des faux les plus fragiles, des fleurs tardives Pierre OSTER ( poëte, essayste, philosophe), 2016, Paris

Details & Dimensions

Painting:Mixed Media on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:78.7 W x 118.1 H x 0.1 D in

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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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