Impressions Dinard pool - Limited Edition 5 of 30 Photograph

Sébastien COURBIER découvre la photographie à l'âge de 6 ans. Il décide d'en faire son métier il y a un peu plus de 20 ans en tant que photographe de studio et d'architecture. C'est en 2012 qu'il commence à exposer ses œuvres personnelles. Il installe sont atelier d'artiste à Dinard et débute un cycle de voyages initiatiques autour du monde à la recherche des lieux et instants magiques où la nature dévoile subrepticement son essence divine. Marin et voyageur, il cherche son inspiration au contact de la nature. Ce sont les vibrations, les émotions qui émanent d'un site naturel qu'il capte puis puis exprime dans son travail photographique. Sa quette est d'en saisir l'esprit au delà de l'apparence, pour en révéler l'essence. Les champs de couleurs Lumières chaudes des couchers de soleil sur l'océan, granites et gris profonds de la Bretagne hivernale, aurores pourpres de l'archipel des Bacuit aux Philippines, bleus éclatants des lacs de montagnes dans le haut atlas, constituent la palette d'un photographe à l’âme de peintre. Dans ces endroits où la nature exprime sa dimension métaphysique, Sébastien Courbier puise l’énergie et l'émotion par une séance de méditation lui permettant de s’imprégner de la vibration du lieu. L'action, la mise en mouvement Sébastien Courbier entame une danse, appareil au poing. Cette danse est l'expression par le mouvement de l'onde ainsi captée puis transmutée. C'est grâce aux longs temps de pose de son appareil photographique et aux mouvements qu'il effectue au moment de la prise de vue qu'il construit sur sa pellicule les compositions minimalistes qui caractérisent son travail photographique. Les paysages photographiés sont ainsi déconstruit par le geste pour en garder l’intrinsèque substance vibratoire qu'il appel « l' onde ». Photographe à l’âme de peintre, il aime s'affranchir de la notion de représentation pour ne conserver que la vibration chromatique, le mouvement et l’émotion. Toute représentation, symbolisme, ou référence au réel sont abandonnés pour laisser place à d’infinies variantes de tons, d’accords, de dissonances ou de complémentarités. Le résultat entre photo et peinture est saisissant. Sébastien Courbier se sert des couleurs du paysage comme d’une palette. Son appareil photographique devient le pinceau qui étire ces touches de couleur. C’est une démarche picturale où le geste crée la composition et le rythme.