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Crucifixion ! Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Acrylic on Canvas

Size: 80 W x 110 H x 1.1 D in

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About The Artwork

L' Icare de Caloian est l'oiseau-âme, le "milan-royal", appelé en roumain "Gaia", le plus bel oiseau de proie, qui vole au plus haut dans le ciel, choisi par Brancusi comme modèle pour "Maiastra", son Oiseau Bleu...Le vol d'Icare matérialise une "fable" qui se déroule dans un ciel infranchissable, avec un mouvement vertical, ascendant vers l'Absolu... Caloian réitère le mythe d'Icare, ce mythe si particulier, qui n'a jamais perdu de son rayonnement sur les artistes. Car le mythe nous raconte une histoire sacrée, exemplaire et répétable, c'est un modèle, "une révélation de la réalité et une ouverture sur le Grand Temps primordial", comme l'affirme Mircea Eliade...En le recréant, Caloian devient "contemporain" d' Icare, pour participer à un mystère dans un temps concentré... D'ailleurs, tous ses thèmes demandent ce temps "concentré": les numéros de haute voltige de l' Arlequin, la Tauromachie, le Passage d'un Pont, les saisons des Arbres, les Icares...L'Artiste s'efforce d'abolir la condition humaine à la recherche du Paradis perdu, il "monte" au ciel "en esprit", et par son expérience, il participe à la restauration paradisiaque... Icare est l'initiative de l'Etre humain en état de Salut, car la vie ne peut rien apporter sans liberté, l'oiseau-âme est toujours libre, en état héroïque de l'évasion, de vol vers la liberté. (Alexandra Medrea Danciu) Sujet complexe " La Crucifixion" a été abordée par les plus grands Artistes de toutes périodes; Michel Ange, Botticelli, Raphael, Titien, Vermeer, Velasquez, El Greco, Ingres, les impressionnistes, les artistes modernes, les artistes contemporains (Matisse, Picasso, Dali, Giacometti) Quoi faire...! Comment faire...? Comment traiter une telle avalanche d' idées sur ce thème là ...? Ma proposition est sur la table, ou plutôt sur le mur..! "En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN Marcel Grosaru, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN Marcel Grosaru l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions est bien de veiller à la bonne ordonnance de toutes les entreprises communes et de n’oublier jamais qu’il nous font tenter de rendre compte de la constitution d’un ordre secrètement absolu … Cela ne va pas sans de très longues analyses parmi les plus couteuses. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs n’aboutissent en rien. Il n’y a personne qui n’échoue. Ultinam varietur : voie du salut. Puissé-je varier pour que le poème ne s’achève ! La chose même me soit comme un séisme ; un arrachement ; une flamme par essence incomparable. Peut-être un espace à venir nous est-il promis dés que s’ouvrent les noces de Cana de l’apparence. Le grain de la pierre, Dieu le sent. Il ne fait pas obstacle à ce que nous ébauchions une esthétique unitive. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d’une naiveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d’une confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés les uns par rapport aux autres. Tables non pas éparses d’une Loi comme indéchiffrable de beauté… Tu ne devines pas ce que le sort nous vaut, une guerre renouvelée, divine, Ou d’autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté nous attaqent… Ils sont bien là, pourtant, nous aiffraient, Nous trompent, rompent peut-être une chaine et puis de toujours Ecartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà les sentences s’entendent. De part …En part nous les révolent. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui nous gouvernent ! Nous ne sommes pas innocents. A nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d’atteindre Au très profond rivage que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas…En effet Que tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas ! Tu ne recherche En effet que la sainte énergie des faux les plus fragiles, des fleurs tardives Pierre OSTER ( poëte, essayste, philosophe), 2016, Paris CALOÏAN : la mesure de l’indicible. L’essence du travail de Caloïan est la matière dont on fait les rêves. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment le bouillonnement intérieur dont il est issu. L’extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu’elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, à regret confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une profondeur nouvelle qui ne doit rien à l’épaisseur de la peinture mais tout à l’impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d’un monde nouveau ou arrangeant, mais une vision nouvelle d’un monde dont il sait qu’il est bien le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu’il en va de la quête de ces derniers comme de la sienne : la recherche d’une grâce volée aux dernières lueurs de l’enfance, l’expression d’un passage sans compromissions éclairé du plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d’être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d’union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. A présent, reculez. Encore. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l’appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les imageries tellement plus complexes qu’il a déjà formentées dans son cerveau. C’est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l’image, position des couleurs, mises en composition avec l’émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïan a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n’est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s’écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, laquelle est le vêtement de nos âmes. C’est pourquoi ses masques sont vibrants, osseux, dépourvus de peau. C’est pourquoi ses totems bravent l’éternité. Reculez encore, et observez. L’étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur en est sa caisse de résonance, et il résulte de ce chaos apparent une familiarité bouleversante, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s’il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée, ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis) En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) Matière de rêve et rêve matérialisé…… inexorablement. Marcel Caloïan est un artiste peintre d’origine roumaine qui vit et travaille à Paris depuis 20 ans. Très peu connu dans son pays d’origine il a réussi à se faire un « nom » dans son métier. Prêt de 15 000 artistes plasticiens sont recensés à ce jour à Paris. A la fin de l’année 2006 il a créé sa propre école d’artistes « Cours Atelier Caloïan ». Ses créations viennent d’un espace peuplé de phantasmes, d’imagination, d’innovations et de liberté spécifique aux grands esprits (Picasso, Dali, Ernst…) qui ont nourris des générations et aussi d’une authentique vibration personnelle de l’accumulation depuis des années d’études, de perfectionnement et de la recherche de sa propre identité (le peintre à 53 ans). Caloïan n’est pas seulement un excellent coloriste mais aussi un créateur de situations conflictuelles dans lesquelles transparaît le besoin de sa représentation symbolique, poétique et métaphorique. Un symbolisme plus évident qui se superpose sur une construction abstraite, géométrique, spontanée comme une juxtaposition inhabituelle de nuances, de couleurs, d’articulations, de sens, non-sens, de matières, de non-matières, de transparences et d’opacités. Caloïan arrive dans des espaces figuratifs avec émotion, fulgurance, maitrise de soi et chargeant le(s) personnage (s) avec des réverbérations symboliques imprégnées de sa propre existence. Ses expressions sont tourmentées. Les mythes représentent des signes forts, essentiels et mystérieux. Depuis sa jeunesse Caloïan marque son territoire artistique avec aplomb, discernement et authenticité. Sa grande création et j’assume le risque d’une opinion subjective et critique « impressionniste » est de visualiser la forme toujours en dialogue avec le néant (vide). Tout effort de création chez Caloïan n’est pas la décoration comme tendance sublime mais trouver la métaphore qui approche l’acte créateur de la substance poétique pure. La création de Caloïan est verticale et se confond avec l’ineffable, l’esprit immortel, tendance majeure de l’époque post-moderne. J’aime chez Caloïan l’obsession des images transformées, bouillonnées, alambiquées qui deviennent jamais nostalgiques mais au contraire se métamorphosent en signes et symboles. On peut bien affirmer que chez Caloïan il y a l’imprégnation de la modernité qui respire universellement sans contourner la technique, les valeurs impératives de la connotation symbolique, le travail de la composition, les couleurs, les glacis et toute la plasticité qui sublime un art majeur. La beauté de l’être humain vient des profondeurs et Caloïan explore toutes les nuances, les teintes, les ombres, les lumières avec une délicatesse à part et une tempête caractéristique à son personnage. Chez Caloïan c’est le grand raffinement de l’intériorisation, le symbolisme plein d’accent poétique, l’excitation entre réverbération nostalgique sans tomber dans le désuet et l’interrogation dramatique tellement mystérieuse, suspendu dans le « néant » propre aux grands créateurs. Caloïan est la représentation des rêves, mythes, légendes, métaphores et signes poétiques que tout autre artiste désire inexorablement. (Alexandre PADURARU – septembre 2010, Bucarest)

Details & Dimensions

Painting:Acrylic on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:80 W x 110 H x 1.1 D in

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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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