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Icare - "La Déchirure"- Nuit blanche Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Acrylic on Canvas

Size: 24 W x 28 H x 1.1 D in

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About The Artwork

"En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on peut facilement deviner son aspiration à construire un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illisoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets (sa peinture est par nature même affectif, débordant d'une intenseémotion), CALOÏAN introduit les dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il est de l'action de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que le joie de la création n'est que le résultat d'un travail immense. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. " (Dan GRIGORESCU, mai 1989) ICARE « Celui qui comprend a des ailes » (Proverbe hindou) ...Il était une fois un roi, Minos, qui régnait sur la Crète, le temps de Minotaure, la bête qui habitait le Labyrinthe de Cnossos, construit par l’architecte athénien, Dédale... Le prince Thésée, aidé par l’ingénieux « écheveau magique » d’Ariane, lui prêté par Dédale, trouve le chemin dans le Labyrinthe et tue le Minotaure... Dédale est puni par le roi Minos et jeté dans la prison du palais avec son fils Icare, mais Dédale construit des ailes de cire et de plumes et ils se sont envolés, toujours plus haut... Icare, négligeant les avis de son père, s’éleva trop haut dans les airs, la chaleur du soleil fondit la cire qui attachait ses ailes, et l’imprudent tomba et périt dans la mer.... Icare est l’initiative de l’Etre humain en état de Salut, car la vie ne peut rien apporter sans la liberté, l’oiseau-âme est toujours libre, en état héroïque de l’évasion, de vol vers la liberté. Icare sort auréolé d’un prestige immense de lyre des « aèdes » grecques, de bas- reliefs crétois, des peintures murales découvertes à Pompéi... Chanté par Ovide, mort à Tomis, la cité des « daces », au bord de la Mer Noire, déploré par les poètes, Icare hante la mémoire d’Auguste Rodin, et inspire le vol dans l’espace des mariés de Marc Chagall, qui comme les étoiles filantes se libèrent de leur poids... Aujourd’hui, Caloïan nous montre « ses Icares » inatteignables, uniques, représentatifs de son Art, de son foyer de création, de son style toujours renouvelé, sans compromettre l’unité de l’inspiration : l’Arbre comme Axe du Monde, le Taureau comme le Fils du Soleil, L’Arlequin tragique comme la sainte figure de Don Quichotte, dans une métamorphose en train de s’opérer sous nos yeux... Caloïan réitère le mythe d’Icare, ce mythe si particulier, qui n’a jamais perdu de son rayonnement sur les artistes. Car le mythe nous raconte une histoire sacrée, exemplaire et répétable, c’est un modèle, « une révélation de la réalité et une ouverture sur le Grand Temps primordial », comme l’affirme Mircea Eliade... En le recréant, Caloïan devient « contemporain » d’Icare, pour participer à un mystère dans un temps concentré... D’ailleurs, tous ses thèmes demandent ce temps « concentré » : les numéros de haute voltige de l’Arlequin, la Tauromachie, le Passage d’un pont, les saisons des Arbres... L’Icare de Caloïan est l’oiseau-âme, le « milan-royal », appelé en roumain « gaïa », le plus bel oiseau de proie, qui vole au plus haut dans le ciel, choisi par Brancusi comme modèle pour « Maïastra », son Oiseau Bleu... Le Vol d’Icare matérialise une « fable » qui se déroule dans un ciel infranchissable, avec un mouvement vertical, ascendant vers l’Absolu... (Alexandra MEDREA, 2005, Paris) A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions est bien de veiller à la bonne ordonnance de toutes les entreprises communes et de n’oublier jamais qu’il nous font tenter de rendre compte de la constitution d’un ordre secrètement absolu … Cela ne va pas sans de très longues analyses parmi les plus couteuses. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs n’aboutissent en rien. Il n’y a personne qui n’échoue. Ultinam varietur : voie du salut. Puissé-je varier pour que le poème ne s’achève ! La chose même me soit comme un séisme ; un arrachement ; une flamme par essence incomparable. Peut-être un espace à venir nous est-il promis dés que s’ouvrent les noces de Cana de l’apparence. Le grain de la pierre, Dieu le sent. Il ne fait pas obstacle à ce que nous ébauchions une esthétique unitive. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d’une naiveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d’une confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés les uns par rapport aux autres. Tables non pas éparses d’une Loi comme indéchiffrable de beauté… Tu ne devines pas ce que le sort nous vaut, une guerre renouvelée, divine, Ou d’autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté nous attaqent… Ils sont bien là, pourtant, nous aiffraient, Nous trompent, rompent peut-être une chaine et puis de toujours Ecartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà les sentences s’entendent. De part …En part nous les révolent. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui nous gouvernent ! Nous ne sommes pas innocents. A nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d’atteindre Au très profond rivage que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas…En effet Que tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas ! Tu ne recherche En effet que la sainte énergie des faux les plus fragiles, des fleurs tardives Pierre OSTER ( poëte, essayste, philosophe), 2016, Paris

Details & Dimensions

Painting:Acrylic on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:24 W x 28 H x 1.1 D in

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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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