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TAUROMACHIE Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Paint on Canvas

Size: 40 W x 40 H x 1.4 D in

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About The Artwork

Le sujet est traite depuis une trentaine d'annee. La Corrida est presente comme pretexte pour creer et faire la peinture. Chercher la composition, la gamme chromatique, les signes, la substance, la quintessence de l'image, l'atmosphere, le sentiment, l'emotion ; des motivations professionnelles qui peuvent en faire rever plus d'un... Voila ce qui m'anime de plus sur ce sujet tant commente, mis a l'ecart, isole, vilipender...!!! « A Caloïan – Le Rond Créateur » L’ARENE-Cape, Rideau et Scène Né du noir-bleuté du fond de la terre Le taureau porte entre ses cornes de lunes ondulées Océans d’étoiles engloutis dans la tourmente des autres galaxies Des cités ambulantes pas encore bâties Des forêts d’odeurs d’encens et de fleurs Des cathédrales-sonates en cire Immaculées Madones en plumes et or Flux reflux d’animaux qui n’ont jamais existé Des flammes en feu au milieu du vide plein…… C’est ce que le torero veut Dans un halo de sang et de lumière Du bout de son symbole d’épée Baguette de chef d’orchestre des sabots qui battent la terre Au rythme des souffles des narines dilatées Ainsi que la tribune-Oléeeee, Oléeee, Oléee Tous ils convoitent Ce monde des spirales en potentialité Avec aux centres des grands yeux lourds Qui pensent et regardent la Matière Et non pas l’oreille droite De l’animal sacré Atteint par un geste limpide, précis et gracieux. Dans ce corps à corps en pas de danse Ni le taureau ni le torero éparpillé Des fois poupée, pantin ou arlequin encorné par la Mort N’ont peur ou froid dans la sueur Fragiles, suaves et délicats Homme, Cheval, Taureau ou Arlequin successivement Deux en un et un en deux Essences des ombres colorées et des lumières Sous la Main-Œil d’un Transparent ou rond Créateur CALOIAN Le Taureau Blanc s’éteint, s’allume, se meurt et se rallume Autour de l’Arène s’enroule un chuchotement - Vaya, Vaya, Olé, Olé, Olé La cape rouge, rideau de froissements tombe……… (Dana STOICA, avril 2005, Paris) En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) Il y a le monde des brumes et celui des lumières. Entre les deux serpente la vie dans sa contemplation intérieure. Une vie de femme damnée, d’arlequin chantant ou de fou révolté. Les mains se lèvent dans une prière à peine osée qui cache une caresse naissante. Les doigts touchent l’air, l’instrument de musique, le corps, parfois la pensée dans une expression de désir évanoui ou fuyant. Les lumières montent tournant en rond, ou se cachent derrière les formes en jetant des ombres pâles et douces, mais aussi des tâches dures et crues. Le trait, le point ou la forme arrondie s’alignent dans une méditation infinie. Un cri s’échappe de l’âme tandis qu’un autre se prépare. A travers leurs paupières closes, les deux femmes voient les arlequins chantant leur musique silencieuse. Les couleurs chez CALOIAN se pressent les unes contre les autres pour oublier, pour mieux sentir ; ‘’La VIE’’ Entre les lumières et les brumes, entre maintenant et demain, entre les corps et les caresses naît un troisième monde crée d’espoir, d’attente ou de résignation à notre image. (Ioana STEFANESCU, 1992 Massy) CALOÏAN : la mesure de l’indicible. L’essence du travail de Caloïan est la matière dont on fait les rêves. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment le bouillonnement intérieur dont il est issu. L’extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu’elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, à regret confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une profondeur nouvelle qui ne doit rien à l’épaisseur de la peinture mais tout à l’impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d’un monde nouveau ou arrangeant, mais une vision nouvelle d’un monde dont il sait qu’il est bien le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu’il en va de la quête de ces derniers comme de la sienne : la recherche d’une grâce volée aux dernières lueurs de l’enfance, l’expression d’un passage sans compromissions éclairé du plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d’être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d’union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. A présent, reculez. Encore. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l’appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les imageries tellement plus complexes qu’il a déjà formentées dans son cerveau. C’est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l’image, position des couleurs, mises en composition avec l’émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïan a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n’est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s’écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, laquelle est le vêtement de nos âmes. C’est pourquoi ses masques sont vibrants, osseux, dépourvus de peau. C’est pourquoi ses totems bravent l’éternité. Reculez encore, et observez. L’étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur en est sa caisse de résonance, et il résulte de ce chaos apparent une familiarité bouleversante, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s’il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée, ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis) « A Caloïan – Le Rond Créateur » L’ARENE-Cape, Rideau et Scène Né du noir-bleuté du fond de la terre Le taureau porte entre ses cornes de lunes ondulées Océans d’étoiles engloutis dans la tourmente des autres galaxies Des cités ambulantes pas encore bâties Des forêts d’odeurs d’encens et de fleurs Des cathédrales-sonates en cire Immaculées Madones en plumes et or Flux reflux d’animaux qui n’ont jamais existé Des flammes en feu au milieu du vide plein…… C’est ce que le torero veut Dans un halo de sang et de lumière Du bout de son symbole d’épée Baguette de chef d’orchestre des sabots qui battent la terre Au rythme des souffles des narines dilatées Ainsi que la tribune-Oléeeee, Oléeee, Oléee Tous ils convoitent Ce monde des spirales en potentialité Avec aux centres des grands yeux lourds Qui pensent et regardent la Matière Et non pas l’oreille droite De l’animal sacré Atteint par un geste limpide, précis et gracieux. Dans ce corps à corps en pas de danse Ni le taureau ni le torero éparpillé Des fois poupée, pantin ou arlequin encorné par la Mort N’ont peur ou froid dans la sueur Fragiles, suaves et délicats Homme, Cheval, Taureau ou Arlequin successivement Deux en un et un en deux Essences des ombres colorées et des lumières Sous la Main-Œil d’un Transparent ou rond Créateur CALOIAN Le Taureau Blanc s’éteint, s’allume, se meurt et se rallume Autour de l’Arène s’enroule un chuchotement - Vaya, Vaya, Olé, Olé, Olé La cape rouge, rideau de froissements tombe……… (Dana STOICA, avril 2005, Paris) En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) CALOÏAN : la mesure de l’indicible. L’essence du travail de Caloïan est la matière dont on fait les rêves. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment le bouillonnement intérieur dont il est issu. L’extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu’elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, à regret confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une profondeur nouvelle qui ne doit rien à l’épaisseur de la peinture mais tout à l’impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d’un monde nouveau ou arrangeant, mais une vision nouvelle d’un monde dont il sait qu’il est bien le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu’il en va de la quête de ces derniers comme de la sienne : la recherche d’une grâce volée aux dernières lueurs de l’enfance, l’expression d’un passage sans compromissions éclairé du plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d’être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d’union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. A présent, reculez. Encore. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l’appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les imageries tellement plus complexes qu’il a déjà formentées dans son cerveau. C’est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l’image, position des couleurs, mises en composition avec l’émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïan a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n’est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s’écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, laquelle est le vêtement de nos âmes. C’est pourquoi ses masques sont vibrants, osseux, dépourvus de peau. C’est pourquoi ses totems bravent l’éternité. Reculez encore, et observez. L’étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur en est sa caisse de résonance, et il résulte de ce chaos apparent une familiarité bouleversante, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s’il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée, ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis)

Details & Dimensions

Painting:Paint on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:40 W x 40 H x 1.4 D in

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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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