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En 2004 j ai commencé un Cycle de tableaux dédié aux ponts de Paris et en même temps en Hommage a Edith Piaf. Il s' agit d une vingtaine d' oeuvres travaillées en couleurs pastel en technique/mixte/carton/maroufle/toile/fil/cousu toutes le même format. Cette idée m' est venue en faisant une promenade sur le quai de la Seine dans une splendide journée d été sur une pluie battante... C'est pour ça que l'on s' explique la nuance Baudelairienne et l' accent nostalgique et presque métaphysique de mes créations. " L' histoire est un pont entre possible et impossible, on y est par Amour, ce Temps Eternel ou vacille plus ou moins une équilibriste sur le fil de l Absence " (ELIE) A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions est bien de veiller à la bonne ordonnance de toutes les entreprises communes et de n’oublier jamais qu’il nous font tenter de rendre compte de la constitution d’un ordre secrètement absolu … Cela ne va pas sans de très longues analyses parmi les plus couteuses. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs n’aboutissent en rien. Il n’y a personne qui n’échoue. Ultinam varietur : voie du salut. Puissé-je varier pour que le poème ne s’achève ! La chose même me soit comme un séisme ; un arrachement ; une flamme par essence incomparable. Peut-être un espace à venir nous est-il promis dés que s’ouvrent les noces de Cana de l’apparence. Le grain de la pierre, Dieu le sent. Il ne fait pas obstacle à ce que nous ébauchions une esthétique unitive. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d’une naiveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d’une confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés les uns par rapport aux autres. Tables non pas éparses d’une Loi comme indéchiffrable de beauté… Tu ne devines pas ce que le sort nous vaut, une guerre renouvelée, divine, Ou d’autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté nous attaqent… Ils sont bien là, pourtant, nous aiffraient, Nous trompent, rompent peut-être une chaine et puis de toujours Ecartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà les sentences s’entendent. De part …En part nous les révolent. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui nous gouvernent ! Nous ne sommes pas innocents. A nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d’atteindre Au très profond rivage que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas…En effet Que tu ne comptes pas, ne compteras, ne compte pas ! Tu ne recherche En effet que la sainte énergie des faux les plus fragiles, des fleurs tardives Pierre OSTER ( poëte, essayste, philosophe), 2016, Paris En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on devine facilement son aspiration à bâtir un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. De plus, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité à l'état pur n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création des autres artistes et non pas par l'illusoire rigueur que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets(sa peinture est par sa nature même affective, débordante d'une émotion intense), CALOÏAN les introduit dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en une fantasmagorie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un immense travail. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN l'est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) A Caloïan Le Sentier aérien Des encres solides et liquides, des palets blancs et bleus, comme une poussière d’albâtre, dessinent un paysage essentiel, un sentier aérien dressé sur le néant… Dentelures, virgules, une symphonie de pierres qui enjambent la Seine comme un glorieux escalier d’agates et d’onyx, suspendue au-dessus des vagues. Une sublime sensation de pureté et d’harmonie sort de ses pierres blanches immaculées, inventées comme une nouvelle graphie, car trop de couleurs suffoquent nos rêves, nos pensées… La pierre est transparente comme les cailloux de l’enfance, jetés dans la rivière pour retrouver leur couleur et leur humidité … Le Pont de Caloïan est un insondable songe qui me rappelle le pont en or et en argent bâti, dans une seule nuit, par le Prince Charmant des contes de fées roumains … Caloian cherche sans cesse un autre mode d’expression porteur de ses angoisses, de ses allers et retours, de ses songes secrets, de ses bonheurs et de ses peines… Sans jamais oublier ses Arlequins, faits de losanges de toutes les couleurs, une pyrotechnie pittoresque pour condenser le grand théâtre du monde, où l’Artiste est parfois saisi de vertiges... L’Arlequin est devenu la figure vaguement féminine, le somnambule de la ville qui ne dort pas, avec son cri suspendu au fil de l’eau… Les figures humaines, tachetées de rouge et de jaune, dessinent des danses rapides, dangereuses, en exprimant leurs désirs et l’envie folle d’exister… Caloïan joue sur le fil tendu qui mesure l’espace et la ligne haute du pont et des réverbères, sur le fil arraché aux déchirures des filets des pécheurs du Danube, jamais oublié… Les personnages prennent leurs forme aux nymphes et aux naïades, maîtresses de l’eau, échappées de ces sources aquatiques pour vivre leurs songes fugitifs… Il ne faut toujours pas oublier ce que Hésiode disait des nymphes qui vivent dix fois, autant que le Phénix … (Alexandra MEDREA, 2004, Paris)
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Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!
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