view additional image 1
View in a Room ArtworkView in a Room Background
view additional image 3
view additional image 4
view additional image 5
458 Views
0

VIEW IN MY ROOM

Cosmique Print

MARCEL GROSARU

France

Open Edition Prints Available:
info-circle

Select a Material

info-circle

Fine Art Paper

Fine Art Paper

Canvas

Select a Size

8 x 10 in ($100)

8 x 10 in ($100)

12 x 15 in ($140)

Add a Frame

info-circle

White ($80)

Black ($80)

White ($80)

Natural Wood ($80)

Metal: Light Pewter ($150)

Metal: Dark Pewter ($150)

No Frame

$180
Primary imagePrimary imagePrimary imagePrimary imagePrimary image Trustpilot Score
458 Views
0

Artist Recognition

link - Artist featured in a collection

Artist featured in a collection

About The Artwork

A Caloian, Peintres, musiciens, poètes ; Leurs fonctions sont bien d'être d'une bonne ordonnance de tous les entreprises communes et de ne jamais oublier qu'il nous fait tenter de rendre compte de la constitution d'un ordre secrètement absolu... Cela ne va pas sans très longues analyses parmi les plus chères. La galerie universelle ne ferme pas et nos calculs ne aboutissent en rien. Il n'y a personne qui n'échoue pas. Ultinam varietur : voie du salut. Puis-je varier pour que le poème ne seachève pas ! La chose même soit à moi comme un tremblement de séisme ; un arrachement ; un flamme en essence incomparable. Peut-être qu'un espace à venir nous est promis d que s'ouvrent le noces de Cana de l'apparence. Dieu sent le grain de la pierre. Il ne fait pas obstacle à ce que nous brouillons une esthétique unitaire. Et nous recréons au paradis des mots les conditions d'une naïveté créatrice. Notre pauvreté fait de nous les Sisyphes d'un confiante vocation à la lumière. Nous inventons le modèle fluide. Champs. Non pas épars, mais structurés par rapport aux autres. Tables non éparses d'une loi comme indéchiffrable de beauté... Tu ne devines pas ce que le sort vaut à nous, une guerre renouvelée, divine, Ou d'autres chiens, pris dans des combats inconnus. Avec cruauté, nous attaquent... Ils sont bien là, pourtant, nous ont aifflé, Nous trompent, peut-être rompent une chaîne et puis toujours Écartent de nos refuges. Redout de pareils justiciers. Nos juges ? Déjà, les sentences s'entendent. De part ...En part, nous les volons. Nous les connaissons pour avoir la mesure. Des feux qui gouvernent nous ! Nous ne sommes pas innocents. Pour nous rétablir dans notre pouvoir dans notre désir d'atteindre Au rivage très profond que nos pas effacent. Des pas ? Des pas Tu ne comptes pas, tu ne compteras pas, tu ne compte pas... En effet Que vous ne comptez pas, ne comptez pas, ne comptez pas ! Tu ne cherches pas En effet, que la sainte énergie des plus fragiles faux, des fleurs tardives Pierre OSTER (poète, essayiste, philosophe), 2016 La déconstruction du carré Lorsque Malévitch, au début du XXe siècle, peignait son fameux " carré", il pensait, à juste titre, mettre fin à la peinture. Que faire de la peinture, car nous avait déjà la photo et le cinéma ? Son geste, aussi provocateur soit-il, n'a aucune conséquence. La peinture allait son train, Malévitch avait embarqué le faux. L'ironie du destin a fait que, plus tard, dans l'époque stalinienne, Malévitch s'est vu contrit à revenir au sage réalisme (nous nous dorons bien vivre !). Il a bien gardé de suivre l'idéologie du réalisme socialiste, mais s'est contenté de peindre des portraits complaisants, comme celui de sa grand-mère. L'ancien " carré" plane sur la peinture russe contemporaine, mais aussi sur l'imagination des peintres occidentaux. Caloïen est le nombre. Depuis quelques années, l'artiste se concentre sur le "carré", en tentant de le remettre (cente fois sur le métier) comme point de départ, et non comme point final. Il a situé le carré de Malévitch dans des structures complexes, l'a entouré de couleurs séduisantes, de formes qui enrichissent sa saveur. Plusieurs expositions ont prouvé la validité de son démarche. Ceci dit, il a bien gardé de passer outre l'axiome moderniste qui, selon Maurice Denis, exige que le tableau soit envisagé comme une surface recouverte de formes et de couleurs qui ne défient jamais son aspect essentiel. Il a eu une autre idée remarquable. Puisque le "maître" a peint le noir sur fond noir, pourquoi ne pas prélever ce noir vibré, modulé, vivifié de Pierre Soulages ? Alors le métissage entre Malévitch et Soulages devient possible et surtout intéressant, grâce à Caloïan. Tout à coup, l'artiste nous surprend par une œuvre hors série. C'est un tableau singulier qui risque de passer inaperçu dans une exposition. Car, pour amadouer et séduire le public, il faut lui donner des parcours qui le familiarisent avec le démarche et non pas des exemples isolés qui le désontenciant. Le mieux est d'avoir le tableau chez soi, pour bien l'étudier et déchiffrer ses arcanes. C'est ce que j'ai eu le privilège de faire. C'est un ouvrage de dimensions assez imposantes, surtout pour un logis modeste, 80 cm de hauteur, 60 cm de large. Le fond est noir, mais il n'est pas plat, les touches sont nerveuses, parfois chargées de matière, ce qui fait que son rayonnement change avec l'éclairage. On voit plusieurs carrés disloqués, désemparés, en fuite devant un ennemi. Cet ennemi est un triangle (le contraire d'un carré) vivement peint en couleurs primaires : rouge, vert, jaune. Il menace tous les carrés, dont au moins six, au plus huit. Ces carrés encadrés de bleus ont tendance à être érigés en cubes. Ils cherchent à s'échapper, même en dépassant les limites de la toile : c'est la fuite vers la survie. Au-dessus, au milieu (pourquoi rejeter la section d'or ?), un collage vivement coloré remet le pictural dans le domaine de la raison : nous nous cherchons à expliquer ce que nous nous sommes ressentis. La peinture est trop souvent tentée par le décoratif. Caloïan rejette ici toute tentation du beau matsien, toute embellissement qui séduit sans raison. Ce qu'il met en avant dans sa peinture est le côté dramatique, mis à part pendant trop longtemps. Nous sommes à faire face à un drame, sinon à une tragédie, qui met les formes en conflit, dans une bataille dont le dénouement reste incertain. Il y a des tableaux où l'on tente d'entrer, de s'y insérer, tant ils sont accueillants. Dans ce cas, il est mieux de se tenir loin, à l'affût des dangers, pour ne pas risquer d'être une simple proie parmi les entités qui s'affrontent. Adrian Mihalache, février 2019, Bucarest

Details & Dimensions

Print:Giclee on Fine Art Paper

Size:8 W x 10 H x 0.1 D in

Size with Frame:13.25 W x 15.25 H x 1.2 D in

Shipping & Returns

Delivery Time:Typically 5-7 business days for domestic shipments, 10-14 business days for international shipments.

Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

Artist Recognition

Artist featured in a collection

Artist featured by Saatchi Art in a collection

Thousands Of Five-Star Reviews

We deliver world-class customer service to all of our art buyers.

globe

Global Selection

Explore an unparalleled artwork selection by artists from around the world.

Satisfaction Guaranteed

Our 14-day satisfaction guarantee allows you to buy with confidence.

Support An Artist With Every Purchase

We pay our artists more on every sale than other galleries.

Need More Help?

Enjoy Complimentary Art Advisory Contact Customer Support