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Carres - Bleu Bleumarin Painting

MARCEL GROSARU

France

Painting, Acrylic on Canvas

Size: 72 W x 48 H x 1.6 D in

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6 toiles en puzzle et en mouvement...sur le theme de carre en Hommage a Malevitch pour son eloge a la premiere Expo suprematiste de 1916 a St. Petersbourg (Ru) Retour à l'abstraction La grâce a été tout au long des cycles de création de Caloian une constante. Et il ne s'agit pas seulement de la grâce formelle, mais de l'extrême finesse de la perception du monde propre à l'artiste. Aux formes complexes de la plupart du temps arrondies, l'artiste pacifié remplace le carré, le triangle, le ligne, le point. La recherche de l'essentiel est sereine et empreinte de douceur - la douceur de la couleur, la douceur de l'entrelacement des formes qui se déploient dans un mouvement ludique. Les inquiétudes du passé remplacent une grande sérénité. Les champs et les cieux suggérés avec un minimum de moyens s'assoient avec légèreté sur la toile. La rotation, spécifique aux toiles de Caloian, est conservée et le jeu des géométries est cinétique. Sans aucune violence, les formes se meuvent dans un cosmos harmonieux qui englobe la terre, le ciel et des incidents anecdotiques comme un point de graine ou d'étoile, un petit carré qui fait penser à un cerf-volant. La toile est le support d'un jeu de formes et de couleurs qui se constituent dans un Cosmos spécifique à Caloian ou la composition se développe sur une échelle musicale. Cette musique subtile et légère est empreinte de spiritualité et si l'on devait la traduire en notes, cette musique serait un rapsodie ou une opéra d'Enescu. On peut voir que Caloian, les toiles abstraites, ne sont pas un jeu de l'intellect, mais qu'elles correspondent à ce que Kandinsky a nommé "l'intentisme". Pour l'artiste cette fois, cette nécessité a pour sujet un âme apaisée, mature et la forme qui en résulte tant sur le plan de la ligne que sur le plan de la couleur est d'une grande douceur. La palette est variée. Le peintre passe avec facilité du rose crémeux au pruneau et du vert au bleu. Les motifs géométriques archaïques fréquents dans la poterie paysanne roumaine ornent les frises et ancrent la toile dans un espace culturel d'un Caloian issu. Le nouveau cycle représente la renaissance de Caloian, renaissance qui n'a pas été exempte de fièvre et de douleur à un art épuré et serein qui correspond à l'âge de sagesse. En décembre, à l'Institut culturel roumain de Paris, le cycle extrait est un hommage à Malevich dont les carrés ont inspiré l'artiste et il parle du passage de la représentation du monde à la représentation de l'essence du monde. (Dana Mutiu Neuilly, 19 novembre 2016) En ce qui concerne la construction de la couleur dans la peinture de CALOIAN, on peut facilement deviner son aspiration à construire un style. Le jeune peintre n'est pas monocorde comme cela arrive souvent à un peintre de son âge. En outre, il ne fait pas de son originalité un fétiche dans le but de se démarquer des autres. Il sait bien que l'originalité en pureté n'existe pas, que la personnalité d'un artiste prend corps par la fermeté des lignes qui l'unissent à la création d'autres artistes et non par la rigueur illusoire que l'on devrait plutôt appeler rigidité. Cette rigueur pourrait le détacher du reste de l'univers artistique. Il sait que l'art est surtout une synthèse. Ainsi, pour lui, la création consiste en une intégration dans un monde cohérent bâti à partir de lois compliquées, lois qui agissent néanmoins sur la base d'une logique sans faille. En apprenant à maîtriser ses effets (sa peinture est par nature même affective, débordante d'une intenseémotion), CALOÏAN introduit les choses dans un ordre des choses qui les rend plus persuasifs, capables de mieux exprimer un état d'esprit, une attitude esthétique, par seulement le résultat immédiat de la rencontre avec le sujet. Il ne transforme pas sa peinture en fantaisie, mais en une répétition mimétique de l'objet réel. Il s'implique dans l'acte de coloration du réel et dans l'éclairage de ses sensations essentielles. L'artiste se concentre avec acharnement sur son art, conscient que la joie de la création n'est que le résultat d'un travail immense. Le sérieux est la qualité nécessaire de la peinture et CALOIAN est pleinement. (Dan GRIGORESCU, mai 1989, Bucarest) La déconstruction du carré Lorsque Malévitch, au début du XXe siècle, peignait son fameux "carré", il pensait, à juste titre, mettre fin à la peinture. Que faire de la peinture, car nous avons déjà la photo et le cinéma ? Son geste, aussi provocateur soit-il, n'a aucune conséquence. La peinture allait son train, Malévitch avait embarqué le faux. L'ironie du destin a fait que, plus tard, dans l'époque stalinienne, Malévitch s'est vu contrit pour revenir au sage réalisme (nous nous vivrons bien !). Il a bien gardé de suivre l'idéologie du réalisme socialiste, mais s'est contenté de peindre des portraits complaisants, comme celui de sa grand-mère. L'ancien " carré" plane sur la peinture russe contemporaine, mais aussi sur l'imagination des peintres occidentaux. Caloïen est le nombre. Depuis quelques années, l'artiste se concentre sur le "carré", en tentant de le remettre (cente fois sur le métier) comme point de départ, et non comme point final. Il a situé le carré de Malévitch dans des structures complexes, entouré de couleurs séduisantes, de formes qui enrichissent son saveur. Plusieurs expositions ont prouvé la validité de son démarche. Ceci dit, il a bien gardé de passer outre l'axiome moderniste qui, selon Maurice Denis, exige que le tableau soit envisagé comme une surface recouverte de formes et de couleurs qui ne défient jamais son aspect essentiel. Il a eu une autre idée remarquable. Puisque le "maître" a peint le noir sur un fond noir, pourquoi ne pas prélever ce noir vibré, modulé, vivifié de Pierre Soulages ? Alors le métissage entre Malévitch et Soulages devient possible et surtout intéressant, grâce à Caloïan. Tout à coup, l'artiste nous surprend par une œuvre hors série. C'est un tableau singulier qui risque de passer inaperçu dans une exposition. Car, pour amadouer et séduire le public, il faut lui donner des parcours qui le familiarisent avec le démarche et non pas des exemples isolés qui désontenciants. Le mieux est d'avoir le tableau chez soi, pour bien l'étudier et déchiffrer ses arcanes. C'est ce que j'ai eu le privilège de faire. C'est un ouvrage de dimensions assez imposantes, surtout pour un logis modeste, 80 cm de hauteur, 60 cm de large. Le fond est noir, mais il n'est pas plat, les touches sont nerveuses, parfois chargées de matière, ce qui fait que son rayonnement change avec l'éclairage. On voit plusieurs carrés disloqués, désemparés, en fuite devant un ennemi. Cet ennemi est un triangle (le contraire d'un carré) vivement peint en couleurs primaires : rouge, vert, jaune. Il menace tous les carrés, dont au moins six, au plus huit. Ces carrés encadrés de bleus ont tendance à être érigés en cubes. Ils cherchent à s'échapper, même en dépassant les limites de la toile : c'est la fuite vers la survie. Au-dessus, au milieu (pourquoi rejeter la section d'or ?), un collage vivement coloré remet le pictural dans le domaine de la raison : nous cherchons à expliquer ce que nous avons ressenti. La peinture est trop souvent tentée par le décoratif. Caloïen rejette ici toute tentation du beau matsien, toute embellissement qui séduit sans raison. Ce qu'il met en avant dans sa peinture est le côté dramatique, mis à part pendant trop longtemps. Nous sommes confrontés à un drame, sinon à une tragédie, qui met les formes en conflit, dans une bataille dont l'aboutissement reste incertain. Il y a des tableaux où l'on tente d'entrer, de s'y insérer, tant ils sont accueillants. Dans ce cas, il est mieux de se tenir loin, à l'affût des dangers, pour ne pas risquer d'être une simple proie parmi les entités qui s'affrontent. (Adrian Mihalache, février 2019, Bucarest) CALOÏAN : la mesure de l'indicible. L'essence du travail de Caloïan est la matière dont on rêve. Regardez. Les circonvolutions de son trait expriment l'intérieur bouillonnement dont il est issu. L'extrême densité de ses représentations terrestres est telle qu'elle défie les lois de la pesanteur ; et son dessin, malheureusement confiné dans la structure géométrique de la toile, trouve son épanouissement dans une nouvelle profondeur qui ne doit rien à laépaisseur de la peinture, mais tout à l'impression savante des couleurs imaginée par notre artiste. Caloïan ne propose pas une vision d'un monde nouveau ou arrangeant, mais une nouvelle vision d'un monde qu'il sait être le même que celui qui soutient le regard de ses contemporains, et qu'il s'agit de la quête de ceux-ci comme de ses propres : la recherche d'une grâce volée aux derniers lueurs de l'enfance, l'expression d'un passage éclairé sans compromis de la plus lumineux de notre intérieur, un chemin qui vaudrait la peine d'être arpenté. En cela, son art est majeur car il propose un trait d'union entre son itinéraire artistique, innovant, en mouvement incessant, et le désir du spectateur de reconnaître un morceau de sa chair sur la toile. À présent, reculez. Encore une. Le recul est nécessaire pour comprendre la vision. Bien sûr, le désir est grand de répondre à l'appel de proximité des couleurs coulées directement des yeux de notre peintre pour restituer au mieux vivant sur la toile les images tellement plus complexes qu'il a déjà formé dans son cerveau. C'est donc un travail de composition dans tous les sens du terme : composition de l'image, position des couleurs, composition avec l'émotion, précision de la pensée, renouvellement de son langage sur le monde, lucidité du professionnel. Caloïen a des thèmes de prédilection, mais ceux-ci ne répondent pas forcément à leurs critères naturels, et il n'est donc pas surprenant de voir ses taureaux prendre leur envol (Tauromachie), ses hommes s'écraser sur la terre (Icare), ou encore de constater que la nudité de ses femmes voile imperceptiblement la condition de nos vies, qui est le vêtement de nos âmes. C'est pourquoi ses masques sont vibrants, osés, dépourvus de peau. C'est pourquoi ses totems bravent l'éternité. Reculez encore, et observez. L'étendue de sa peinture est impressionnante : mille tableaux fourmillent en un seul, le trait exprime la vision, la couleur est son caisse de résonance, et il résulte de ce chaos une bouleversante familiarité, un écho final aux sentiments ordinaires. Ce travail acharné ne peut être mesuré. Et s'il le doit, sa valeur marchande ne doit être ni contestée ni discutée. (Bénatar, juillet 1998, Les Ulis)

Details & Dimensions

Multi-paneled Painting:Acrylic on Canvas

Original:One-of-a-kind Artwork

Size:72 W x 48 H x 1.6 D in

Number of Panels:2

Shipping & Returns

Delivery Time:Typically 5-7 business days for domestic shipments, 10-14 business days for international shipments.

Je représente le contenu d'une expression sincère magnifiée par le geste, l'accent, le sens, le symbole, le signe, la transparence. Il y a quelques années, ma création (la figuration libre) a glissée au fil des recherches dans l'abstraction avec de fréquentes utilisations de structures géométriques ; cercles, triangles, carrés, lignes, losanges, points...plus ou moins sur le " i " ...!!!

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